Pour la météo
Choisir la côte espagnole pour sa résidence secondaire, c’est d’abord choisir plus de 300 jours de soleil par an. Le climat méditerranéen y offre des étés certifiés 100% beau temps, printemps et automnes doux et ensoleillés et des hivers qui n’en ont que le nom mais aucun des attributs connus en France.
Plus de 300 jours par an pour profiter de la plage, de son jardin ou tout simplement d’un verre en terrasse n’est plus un rêve inaccessible, il vous suffit de franchir les Pyrénées pour ranger au rayon des souvenirs la contrainte climatique qui pèse sur votre vie quotidienne.
Pour le prix de l’immobilier
Après avoir atteint son maximum au milieu des années 2000, le marché de l’immobilier en Espagne a connu un krach inégalé en Europe. Subitement, les prix de l’immobilier ont chuté dans des proportions spectaculaires, pouvant atteindre jusqu’à – 70%.
Avec plus de 800.000 logements construits mais non occupés, l’offre dépasse très largement la demande, permettant ainsi aux acquéreurs potentiels de bénéficier de prix au m2 inenvisageables sur les côtes atlantiques et méditerranéennes françaises.
Quelques soient la localisation, le standing de la station balnéaire et le type de bien recherché, la comparaison entre tarifs français et espagnols est systématiquement en faveur de l’Espagne, allant de – 10% jusqu’à, sur certaines destinations comparables, – 60%.
Ainsi, par exemple, pour le prix d’un studio au Lavandou ou d’un T1 à la Grande Motte, vous pourrez sans aucun problème trouver en Espagne une plus grande surface habitable, plus de commodités (vue mer, terrasse, piscine, jardin, parking, etc…) et une plus grande proximité de la plage.
Mais, attention, si les conséquences de la crise se font encore sentir sur le marché, nous constatons depuis plusieurs mois une hausse des prix dans certaines régions et/ou sur certains types de biens particulièrement recherchés. En effet, l’arrivée d’une nouvelle clientèle étrangère qui, jusqu’au printemps arabes, privilégiaient le Maghreb, combinée à la reprise de l’économie espagnole qui ouvre à nouveau les portes du marché de la résidence secondaire à la clientèle domestique, entrainent une nette augmentation de la demande. Même si les acheteurs restent en position de force sur le marché, les vendeurs tendent à augmenter leurs prix et sont de moins moins ouverts à de grosses négociations à la baisse.
Comme dans tout marché renaissant, de bonnes affaires sont plus que jamais à faire, mais, plus difficiles à dénicher, elles demandent, pour les acquéreurs, un investissement en temps de plus en plus important, une très grande disponibilité pour les visites ainsi qu’un réseau de contacts sur place permettant d’être le plus réactif possible.
Pour sa proximité
Trouver une villa à l’étranger pour le prix d’un studio en France c’est bien, pouvoir s’y rendre simplement et quand bon nous semble, c’est encore mieux !
Grâce à sa frontière commune avec la France, l’Espagne est la seule destination qui offre un véritable choix dans les modes de transports pour vous rendre sur place.
Vous souhaitez profiter de votre bien le temps d’un long weekend, vous choisirez l’avion et serez sur place en moins de 2h grâce à un vol direct depuis la quasi totalité des aéroports français vers l’un des quelques 50 aéroports que compte la péninsule.
Mais, située à moins d’une journée de route au départ de n’importe quelle ville de France, choisir l’Espagne c’est aussi garder la liberté de se rendre sur place avec sa voiture pour un séjour de longue durée. Ainsi vous vous affranchissez des contraintes et des frais optionnels des vols low cost (horaires peu flexibles, bagages limités et facturés, location longue durée d’un véhicule sur place, etc…)
Enfin, pour ceux qui préfèrent le train, l’Espagne est à ce jour le seul pays méditerranéen connecté aux TGV français, plaçant Paris à 6h30 de Barcelone, Lyon à 5h, Marseille à 4h30 ou encore Montpellier à 3h30.
Pour vos impôts
Au delà de l’attractivité des prix à l’achat, posséder une résidence secondaire en Espagne permet également de réaliser des économies substantielles sur plusieurs impôts très élevés en France.
Quelque soit vos revenus ou le type de bien que vous possédez, la taxe d’habitation vous coutera… 0€ ! En effet, il n’existe pas de taxe d’habitation en Espagne !
Concernant la taxe foncière, à biens et localités équivalents, les montants sont divisés au minimum par 2, et il n’est pas impossible de les diviser par 10. Par exemple, un appartement de 50m2 en bord de plage catalane vous coutera autour de 250€ de taxe foncière par an.
Pour les retraités du privé, le statut de résident espagnol permet également d’être en partie exonéré de CSG/CRDS. Après les récentes augmentations de ces contributions, cela peut représenter une augmentation de revenu allant jusqu’à 10% par an.
Pour le coût de la vie
En Espagne, prendre un café en terrasse, aller au restaurant, s’offrir des services à domicile, bref vivre une retraite confortable, n’est pas un luxe pour les expatriés.
Avec un smic s’élevant à 825€ brut mensuel (contre 1 480€ en France), le coût des produits de consommation courante est forcément plus bas en Espagne, autour de 15% en moyenne, et peut atteindre, par exemple, – 35% sur la baguette, – 30% sur les alcools et – 65% sur le tabac. A titre indicatif, la France se situe en 10ème position des pays dont le coût de la vie est le plus élevé, l’Espagne, elle, n’est que 18ème (Indice « Big Mac » 2017)
Le système de santé, bien que totalement different de celui de la France, permet également des économies substantielles :
Pour les non résidents, l’accès au soins est gratuit sur simple présentation de la carte européenne de l’assurance maladie française.
Pour les résidents, la souscription à une mutuelle est indispensable, mais elle ne coute pas plus chère qu’en France et permet une couverture équivalente, avec dans la plupart des cas, aucun reste à charge.
Enfin, bien que certains soins ne soient pas remboursés en Espagne, leur coût total est très souvent inférieur au reste à charge à payer en France. C’est particulièrement vrai pour les soins et les prothèses dentaires ou l’optique.
Pour la sécurité
En Espagne, prendre un café en terrasse, aller au restaurant, s’offrir des services à domicile, bref vivre une retraite confortable, n’est pas un luxe pour les expatriés.
Avec un smic s’élevant à 825€ brut mensuel (contre 1 480€ en France), le coût des produits de consommation courante est forcément plus bas en Espagne, autour de 15% en moyenne, et peut atteindre, par exemple, – 35% sur la baguette, – 30% sur les alcools et – 65% sur le tabac. A titre indicatif, la France se situe en 10ème position des pays dont le coût de la vie est le plus élevé, l’Espagne, elle, n’est que 18ème (Indice « Big Mac » 2017)
Le système de santé, bien que totalement different de celui de la France, permet également des économies substantielles :
Pour les non résidents, l’accès au soins est gratuit sur simple présentation de la carte européenne de l’assurance maladie française.
Pour les résidents, la souscription à une mutuelle est indispensable, mais elle ne coute pas plus chère qu’en France et permet une couverture équivalente, avec dans la plupart des cas, aucun reste à charge.
Enfin, bien que certains soins ne soient pas remboursés en Espagne, leur coût total est très souvent inférieur au reste à charge à payer en France. C’est particulièrement vrai pour les soins et les prothèses dentaires ou l’optique.